Mathilde a quitté son F1 de banlieue pour Malesaygues, un coin de paradis dans l’arrière pays. Les voisins sont accueillants.
Il y a Catherine, veuve fantasque, Laurence, les Thérignac, juste un un peu coincés. Et, puis Fred, au charme particulier. Une petite communauté chaleureuse.
En apparence.
Car il est dur à supporter, le bonheur de l’autre.
Alors, parce qu’on est incapable de construire, inconsciemment, on détruit : d’abord les réputations, puis l’amour, enfin les êtres eux-mêmes.
Il y a Catherine, veuve fantasque, Laurence, les Thérignac, juste un un peu coincés. Et, puis Fred, au charme particulier. Une petite communauté chaleureuse.
En apparence.
Car il est dur à supporter, le bonheur de l’autre.
Alors, parce qu’on est incapable de construire, inconsciemment, on détruit : d’abord les réputations, puis l’amour, enfin les êtres eux-mêmes.
Un peu déçue de cette lecture. Certes l’histoire se rapproche de la réalité du fait que la vie dans une petite ville ressemble à ce nous raconte l’auteur. Tout le monde est au courant de tout sur chacun de ses voisins, impossible de cacher un secret bien longtemps… Et l’on peut se laisser aller à identifier un de ses voisins à la place d’un personnage de l’histoire.
Mais malgré ça, j’ai trouvé que c’était peut-être un peu trop caricaturé et finalement j’ai eu du mal à accroché avec les personnages, mais aussi avec l’histoire. Je m’y suis un peu perdu. J’ai trouvé ça un peu lourd à lire et pourtant ça aurait pu être drôle…
Bref c’est un peu trop pessimiste à mon gout. Parce que la vie à la campagne c’est pas aussi déprimant que ça ! 🙂
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